Sadia Benamrouz-Vanneste et ses collègues de l’équipe ECOPHIP ont montré en 2007 qu’une espèce de Cryptosporidium, parasite intestinal microscopique, était capable d’induire des lésions digestives cancéreuses chez des souris. Plus tard, ils ont comparé la virulence de plusieurs parasites de cette même espèce et provenant de divers hôtes et diverses zones géographiques. Ils ont montré que ces derniers avaient des virulences variables. Le travail qui vient d’être publié a permis, en comparant les génomes de ces souches de parasites, d’identifier plusieurs protéines pouvant être responsables de cette différence de virulence.
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Genetic basis for virulence differences of various Cryptosporidium parvum carcinogenic isolates.